🐶Espace astuces

Pour accueillir votre nouveau compagnon dans les meilleures conditions, choisissez une période où vous pourrez être présent à la maison : vacances, télétravail ou week-end prolongé.
Séparé récemment de sa mère et de sa fratrie, il pourrait se sentir un peu perdu ou inquiet. Votre présence à ses côtés sera essentielle pour le rassurer et l’aider à s’adapter en douceur à son nouvel environnement.

Voici quelques indispensables pour un accueil en toute sérénité :

• Un parc que vous considèrerez comme sa chambre, un endroit calme et rassurant
• Un couchage (coussin, couverture, panier...) que vous disposerez dans son parc... sa chambre
• Un collier et une laisse. Nous vous recommandons d'éviter le harnais et la laisse à enrouleur, du moins au début
• Un coin repas comprenant une écuelle pour l'eau et un gamelle pour son alimentation que vous installerez dans son parc.
• Quelques jouets divers et variés qui occuperont votre chiot et favoriser son éveil.
• Un nécessaire de toilette composé d'une brosse, un peigne, un coupe griffe, une lotion nettoyante pour les oreilles et une autre pour les yeux.
• des alèses pour les petits accidents

N’oubliez pas, accueillir un chiot à la maison, c’est un peu comme accueillir un jeune enfant. Il est essentiel de sécuriser votre intérieur pour éviter tout accident. Pensez à :

• Mettre hors de portée les câbles électriques, qu’il pourrait mordiller
• Ranger les produits ménagers, souvent toxiques en cas d’ingestion
• Éloigner certaines plantes d’intérieur, qui peuvent être dangereuses pour sa santé.

Un environnement sécurisé lui permettra de grandir sereinement et en toute sécurité.

Vous venez d’accueillir votre nouveau compagnon à quatre pattes.
Pour lui offrir les meilleures conditions d’adaptation, un retour direct à la maison est vivement recommandé. Évitez autant que possible de faire le tour de la famille ou d’organiser une présentation en grande pompe : cela ne ferait qu’ajouter une source de stress inutile à ce moment déjà délicat.

Votre chiot vient tout juste de quitter la meute dans laquelle il a grandi depuis sa naissance. Il est désorienté, un peu perdu, et cherche instinctivement à se raccrocher à une nouvelle meute, à de nouveaux repères. Ce qu’il attend avant tout, c’est une atmosphère rassurante, stable et sécurisante.

En rentrant directement chez vous, vous lui offrez cette bulle de tranquillité.

Dès son arrivée, montrez-lui l’espace qui lui est dédié : son panier, ses gamelles, ses jouets… Ce petit coin deviendra son refuge, un lieu où il pourra se sentir en sécurité, se reposer et s’apaiser.

Laissez-le explorer librement son nouvel environnement : les pièces, les odeurs, les bruits… Il a besoin de prendre ses marques à son rythme. Une fois qu’il semble plus à l’aise, proposez-lui calmement un moment de jeu ou un câlin. Ce sera l’occasion de créer les premiers liens et de partager ensemble un instant de douceur et de complicité.

Votre chiot est identifié sous numéro I-CAD à 15 chiffres commençant par 250......, un numéro unique, enregistré dans le Fichier National I-CAD. Ce numéro est essentiel : en cas de perte ou de vol, il permet de vous retrouver rapidement en tant que propriétaire et facilite le retour de votre animal. Il est obligatoire de signaler à l’I-CAD tout changement d’adresse (en cas de déménagement), de propriétaire (en cas de cession ou adoption). Ces démarches garantissent que les informations liées à votre animal restent à jour et fiables.

Depuis janvier 2024, l’I-CAD a dématérialisé ses services pour les particuliers, la carte d’identification est désormais entièrement numérique. Lorsqu’un éleveur professionnel effectue le changement de détenteur en ligne, aucune carte papier n’est envoyée,  la carte d’identification est 100 % digitale.

Comment récupérer la carte d’identification ? Une fois le changement de propriétaire validé, vous recevrez une notification par email ou SMS. Celle-ci vous invitera à vous connecter à votre espace détenteur sur le site officiel :
👉 www.i-cad.fr. Vous pourrez alors télécharger la carte d’identification de votre nouveau compagnon.

Les besoins de votre chiot peuvent être regroupés en deux grandes catégories :

• Les besoins physiologiques
• Les besoins psychologiques

Les besoins physiologiques

Comme tout être vivant, votre chiot a des besoins fondamentaux pour assurer le bon fonctionnement de son organisme.

• Boire - Une gamelle d’eau propre et fraîche doit être disponible en permanence. Veillez à adapter sa taille et sa forme à la morphologie de votre chiot. L’eau doit être renouvelée chaque jour pour éviter les eaux stagnantes, qui peuvent devenir toxiques.
• Manger - Le chien appartient à la famille des carnivores, bien qu’il ne soit pas un carnivore strict. Au fil de son évolution, il a diversifié son régime alimentaire en intégrant des céréales, des fruits et des légumes. Ses besoins nutritionnels évoluent avec l’âge, le poids et le niveau d’activité. Vous pouvez lui préparer des rations ménagères, mais pour garantir un équilibre optimal, nous vous recommandons une alimentation industrielle de qualité, sous forme de croquettes adaptées à son profil. C'est le poids à l’âge adulte (et non le poids de votre chiot) qui sert de base de référence pour calculer sa ration quotidienne. Pour connaître la quantité d’aliment adaptée à votre chiot, référez-vous au tableau des rations figurant sur le sac de croquettes que vous avez choisi. Ce tableau prend généralement en compte le poids, l’âge et le niveau d’activité de votre animal.Il est essentiel de lui donner des croquettes spécifiques pour chiot jusqu’à ses 10 à 12 mois, afin de soutenir sa croissance. À partir de 12 mois, vous pourrez passer à des croquettes pour chien adulte. Il est recommandé de répartir la ration quotidienne en au moins deux repas afin de faciliter la digestion et d’éviter les troubles gastro-intestinaux. Pour votre chiot, vous avez même la possibilité de fractionner la ration quotidienne en 3 repas durant les 6 premiers mois de sa vie. Il est également conseillé de limiter l’activité physique juste après les repas, pour prévenir tout risque de torsion de l’estomac.  
• Dormir - Votre nouveau compagnon est un grand dormeur : il dort en moyenne 12 heures par jour, réparties entre la nuit et plusieurs siestes dans la journée. Pour qu’il puisse se reposer sereinement, il est important de lui aménager un espace bien à lui, où il se sentira en sécurité et pourra dormir tranquillement. Tout comme nous, les chiots apprécient le confort. Pensez à lui proposer un coussin, une couverture, un panier ou un tapis douillet, adapté à sa taille. Pour lui offrir encore plus de calme et de repères, vous pouvez installer un petit parc dans lequel il retrouvera son couchage, ses jouets et ses gamelles. Ce sera son coin à lui, en quelque sorte sa chambre, où il pourra se détendre et se sentir chez lui.
• Éliminer - Comme tout être vivant, votre chiot doit éliminer régulièrement ses déchets sous forme d’urines et de selles. Les sorties au jardin ou les promenades sont des moments essentiels pour lui permettre de se soulager dans un environnement adapté. Il est important d’intégrer ces sorties dans votre routine quotidienne. Pensez à accompagner votre chiot le matin dès le réveil, après chaque sieste et après les repas. Ces moments sont non seulement bénéfiques pour son bien-être physique, mais aussi pour renforcer votre lien avec lui. Lors de vos promenades, n’oubliez pas d’emporter des sachets pour ramasser ses déjections. C’est un geste simple mais essentiel pour le respect de l’environnement et des autres usagers.

Les besoins psychologiques

Au-delà de ses besoins physiologiques, votre chiot a également des besoins psychologiques essentiels à son développement et à son équilibre. Ces besoins contribuent à façonner le chien adulte qu’il deviendra.

• Se socialiser - Le chien, tout comme son ancêtre le loup, est un animal social qui évolue naturellement au sein d’un groupe. Il a donc besoin d’interactions régulières et positives avec d’autres chiens, des humains, et parfois d’autres animaux. La socialisation est une étape cruciale de son développement. Plus votre chiot sera exposé à des situations variées (bruits, odeurs, environnements, personnes, animaux…), plus il gagnera en confiance et en stabilité émotionnelle. Les promenades, les jeux, les jouets et les peluches sont autant d’occasions de stimuler ses capacités cognitives et de favoriser son épanouissement.
• Renifler et mastiquer - Renifler et mastiquer sont des comportements naturels et fondamentaux chez le chien. Ils lui permettent de découvrir son environnement, de communiquer, mais aussi de canaliser son énergie et de gérer son stress. Il est donc important d'encourager ces comportements à travers des jeux interactifs, des friandises à mâcher, des tapis de fouille, des promenades régulières... Ces activités offrent à votre chiot des stimulations mentales indispensables à son bien-être.

Si vous souhaitez changer de marque de croquettes par rapport à celle recommandée par l’éleveur, il est essentiel de respecter une transition alimentaire progressive. Cela permet de limiter les risques de troubles digestifs, tels que diarrhées ou vomissements.

• Jour 1 & 2 - 75% de l'aliment recommandé par votre éleveur / 25% du nouvel aliment.
• Jour 3 & 4 - 50% de l'aliment recommandé par votre éleveur / 50% du nouvel aliment.
• Jour 5 & 6 - 25% de l'aliment recommandé par votre éleveur / 75% du nouvel aliment.
• A partir du jour 7 - 100% du nouvel aliment.

Pour préserver la santé et le bien-être de votre compagnon, il est important de mettre en place une routine d’hygiène régulière. Voici les principaux points à surveiller :

• Entretien du pelage -

  Le secret d’un pelage sain et brillant chez le chiot réside dans un brossage régulier, adapté à son type de poil :

  • Poils courts : 1 à 2 fois par semaine avec une brosse douce.
  • Poils mi-longs à longs : tous les jours ou tous les deux jours pour éviter la formation de nœuds.
  • Poils frisés ou laineux : un brossage quotidien est recommandé.

  Ce geste simple permet non seulement d’éliminer les poils morts, mais aussi de stimuler la circulation sanguine et de renforcer la complicité entre vous et votre chiot. Un bain occasionnel peut être bénéfique, notamment en cas de salissure. Il est conseillé de le faire toutes les 4 à 6 semaines, en utilisant un shampoing spécialement formulé pour les chiots, doux et respectueux de leur peau sensible. Veillez à bien rincer et à sécher votre chiot avec une serviette ou un sèche-cheveux à basse température, pour éviter tout risque de brûlure ou d’inconfort. Inspectez régulièrement son pelage pour détecter la présence de parasites (puces, tiques), des rougeurs ou irritations, des nœuds ou bourres de poils. Il peut être nécessaire de couper les poils autour des yeux, des coussinets et des parties intimes pour garantir confort et hygiène.
  Enfin, pensez à prévoir des visites régulières chez un toiletteur professionnel, surtout si votre chiot a un pelage exigeant ou si vous souhaitez l’habituer dès le plus jeune âge à ces soins.

• Entretien des oreilles et des yeux - Les oreilles et les yeux nécessitent une attention particulière. Nettoyez le pavillon de l’oreille avec un chiffon doux ou un coton, en utilisant un produit adapté. N’utilisez jamais de coton-tige, qui pourrait blesser le conduit auditif. Pour les yeux, retirez les petites saletés ou écoulements au coin interne à l’aide d’un coton ou d’un linge propre. Là encore, des produits spécifiques pour l’hygiène oculaire sont disponibles.
• Surveillance des griffes - Lors de la visite annuelle chez le vétérinaire, pensez à lui demander de vérifier la longueur des griffes et de les couper si nécessaire. Des griffes trop longues peuvent gêner la marche ou provoquer des douleurs.
• Hygiène dentaire - Le tartre peut apparaître progressivement sur les dents de votre chien. Lors de la visite annuelle, votre vétérinaire pourra contrôler l’état de sa dentition et vous proposer des solutions pour prévenir ou traiter l’accumulation de tartre (brossage, lamelles à mâcher, soins spécifiques…).
• Prévention contre les parasites - Votre chiot peut être exposé à divers parasites externes (puces, tiques) et internes (vers). L’utilisation régulière d’antiparasitaires adaptés est essentielle pour sa santé. N’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire lors de la visite pour le rappel vaccinal.

Votre chiot a été vermifugé régulièrement au cours de ses deux premiers mois de vie. Il est désormais essentiel que vous poursuiviez ce protocole afin de prévenir toute infestation parasitaire susceptible d'entraîner un retard de croissance. La prochaine administration de vermifuge est prévue lors du rappel vaccinal. Profitez de cette visite chez votre vétérinaire pour lui demander le vermifuge adapté à votre chiot. Par la suite, le rythme recommandé est le suivant :

• Une vermifugation mensuelle jusqu’à l’âge de 6 mois
• Puis tous les deux mois jusqu’à ses 12 mois
• Enfin, à chaque changement de saison, surtout s’il sort fréquemment, explore différents environnements ou est en contact avec d’autres chiens.

L'éducation

Répondre aux besoins physiologiques et psychologiques de votre chiot est essentiel, mais lui offrir une éducation cohérente et bienveillante l’est tout autant. Pour que la cohabitation soit harmonieuse, il est nécessaire d’instaurer des règles claires dès son arrivée dans votre foyer. Des repères simples comme “non”, “stop”, ou le rappel sont indispensables pour garantir une vie en communauté sereine, tant pour vous que pour votre compagnon. N’hésitez pas à faire appel à un éducateur canin ou à rejoindre un club canin. Ces professionnels vous aideront à adopter les bonnes pratiques éducatives et à renforcer votre relation avec votre chiot. Les bonnes habitudes se construisent dès le plus jeune âge, idéalement dès le premier jour dans sa nouvelle famille.

L’apprentissage de la propreté est une étape essentielle dans l’éducation de votre chiot. Cela demande de la patience, de la cohérence et beaucoup de bienveillance. Cet apprentissage commence dès son arrivée à la maison, généralement entre 8 et 12 semaines. Les chiots n’ont pas encore un contrôle total de leur vessie, mais ils peuvent déjà apprendre les bonnes habitudes. Voici quelques bons réflexes à adopter :

• Sortir votre chiot régulièrement, après chaque repas, chaque sieste, chaque séance de jeu, et surtout dès le réveil
• Le féliciter chaleureusement quand il fait ses besoins dehors (caresses, voix douce, friandise)
• Nettoyer sans odeur attirante : utilisez un produit enzymatique pour éviter qu’il retourne au même endroit en évitant d'utiliser de la javel, son odeur attire les chiens
• Créer une routine, les chiots apprennent mieux avec des horaires réguliers. Une routine stable l’aidera à anticiper les moments de sortie.

Les erreurs à éviter

• Le punir après coup : il ne fera pas le lien entre son acte et votre réaction
• Trop attendre entre les sorties, il ne peut pas se retenir longtemps. En règle générale, un chiot peut se retenir environ une heure par mois d’âge. Par exemple À 2 mois, il pourra se retenir environ 2 heures ; À 3 mois, environ 3 heures, et ainsi de suite. Bien sûr, cela peut varier selon le chiot, son niveau d’activité, son alimentation et son état émotionnel. Il est donc important de rester attentif à ses signaux et de l’accompagner avec bienveillance dans cet apprentissage.
• Ne rentrez pas trop vite à la maison après une promenade ou une séance de jeu dans le jardin. Comme un jeune enfant, votre chiot peut être tellement absorbé par l’activité qu’il oublie qu’il a une envie pressante. C’est souvent au moment de rentrer qu’il réalise qu’il a besoin de se soulager… et cela peut malheureusement se produire à l’intérieur. Pour éviter cela, prenez l’habitude de rester immobile avec lui pendant environ 10 minutes avant de rentrer. Ce moment de calme lui permettra de se recentrer et de prendre conscience de son besoin d’éliminer. Et surtout, n’oubliez pas de le féliciter chaleureusement s’il fait ses besoins dehors : cela renforcera positivement son apprentissage de la propreté.

Tout se passe bien, et il est temps de reprendre le travail. Votre chiot va maintenant devoir apprendre à rester seul, une étape importante dans son développement. Certains chiots peuvent souffrir d’angoisse de séparation, souvent liée à de mauvaises habitudes instaurées dès le départ. Voici quelques conseils pour l’aider à vivre sereinement vos absences :

• L’habituer à être seul… même quand vous êtes là. Commencez par l’habituer à rester seul dans une pièce ou dans son parc, même lorsque vous êtes à la maison. Par exemple, lorsqu’il est dans son espace pendant que vous faites le ménage, il apprend que la séparation n’est ni inquiétante ni définitive.
• Anticiper les départs. Ne dramatisez pas vos départs. Que ce soit pour aller vous coucher ou partir travailler, évitez de créer un moment émotionnel. Dans les premiers temps, placez votre chiot dans son parc 20 à 30 minutes avant votre départ. Il s’occupera tranquillement et ne fera pas le lien direct entre votre absence et son isolement. Au moment de partir, ne lui parlez pas, ne le regardez pas, et ne lui portez aucune attention : cela évite de renforcer son focus sur vous.
• Dépenser son énergie avant votre départ. Avant de quitter la maison, proposez-lui une longue promenade ou une séance de jeu dans le jardin. Cela lui permettra de se soulager, de se fatiguer, et donc de mieux se reposer pendant votre absence. Un chiot fatigué est un chiot plus calme et moins anxieux.
• Varier ses occupations. Renouvelez régulièrement ses jouets pour maintenir son intérêt. Des jouets interactifs ou à mâcher peuvent l’occuper efficacement et l’aider à gérer l’ennui.
• Rester neutre au retour. À votre retour, ne manifestez pas d’excitation. Cela pourrait renforcer son anxiété liée à la séparation. Sortez-le calmement dans le jardin ou partez en promenade sans effervescence. Ce n’est qu’après cette activité que vous pourrez lui dire bonjour et lui faire un câlin. Ainsi, il comprendra que vos absences et vos retours ne sont pas des événements majeurs.

Vous venez de ramener votre nouveau compagnon à la maison et vous imaginez déjà le parer d’un collier digne des plus grandes stars. Mais attention, quelques précautions s’imposent !

Votre chiot est encore tout jeune, et sa croissance va être rapide. Il est donc inutile d’investir dès maintenant dans un collier haut de gamme. Préférez un modèle simple et léger pour débuter, en attendant qu’il atteigne sa taille adulte. Vous pourrez alors lui offrir un collier plus durable et élégant.

Il est fort probable que votre chiot ait été récemment identifié et vacciné. La zone autour du cou peut donc être encore sensible. Ne soyez pas trop pressé de lui mettre son collier : s’il associe une gêne ou une douleur à cet accessoire, il risque de le percevoir comme une source de stress. Cela pourrait compliquer l’apprentissage de la laisse et des promenades à venir.
Prenez le temps de l’observer, de le laisser s’habituer à son nouvel environnement, et introduisez le collier progressivement, avec douceur et patience.

Pour faciliter les premières balades avec votre chiot, il est important de choisir les bons accessoires dès le départ.

Même s’il peut sembler confortable, le harnais n’est pas toujours adapté à l’apprentissage de la marche en laisse. À l’origine conçu pour les chiens de traction (comme les chiens de traîneau), il peut encourager votre chiot à tirer, ce qui complique l’apprentissage de la marche au pied.

Le collier, quant à lui, offre une meilleure maîtrise de votre chiot et vous permet d’instaurer les bases d’une promenade calme et sécurisée. Il est donc recommandé pour les premières sorties, tant que votre compagnon apprend à marcher à vos côtés.

Enfin, les laisses à enrouleur, bien qu’appréciées pour leur praticité, ne sont pas idéales pour l’apprentissage. Elles offrent trop de liberté à un chiot qui ne sait pas encore gérer ses déplacements. Cela rend difficile la mise en place des règles essentielles à une promenade sereine.